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    Fils du vent, je t'appelle

     

    Serge

     

    Fils du vent, je t’appelle

     

    Fils du vent, entends mon cœur comme je t’appelle

    Écoute les flots de ta rivière bleue, parler d’amour.

    Dieu qui est témoin te dirait comme je crie vers toi.

     

    Je ne suis qu’une pauvre femme mais riche de cœur

    Je suis une romantique, une rêveuse, une solitaire.

    Mon amour pour toi me met dans les yeux des étoiles.

     

    Le soleil tout là-haut ne brille que parce que tu l’aimes.

    Il est aussi mon gîte parce qu’il dort sur ton épaule.

    Dans la nuit, il vient et se fond aussi dans mes rêves.

     

    Oh mon Dieu toi qui entends désespérément mes prières

    Toi qui à chaque instant du jour me voit presque à l’agonie,

    Tu sais que même dans mes nuits, je le cherche, je l’appelle.

     

    Tu sais qu’au monde, il est le seul que je veux, que je désire

    Tu sais que je n’ai plus jamais rencontrer personne d’autres,

    Que dans mon cœur, son nom est écrit et qu’en moi il existe.

     

    Fils du vent, viens, écoute, dépose ton cœur sur mes mains.

    Viens boire à ma source, l’amour qui porte ton nom.

    Viens partageons en ce monde, un petit coin de paradis.

     

    Sur mes lèvres, inlassablement, encore je prononce ton nom

    Parce qu’il peint tout un ciel d’espoir au fond de mon cœur.

    Oh vois mon Dieu, comme il est mon seul et désirable amour.

    ©Janedeau

     

     


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    Serge

     

    Mon Dieu, entends ma détresse

     

    Mon Dieu, ô entends ma détresse, vois comme j’ai le cœur brisé.

    Vois comme ma vie sans lui, jette dans les étangs, ses sanglots.

    En tout instant, je t’implore, te supplie de me donner son amour.

     

    Tout ce que tu as créé, notre belle terre, n’est qu’amour et beauté.

    Tu nous as donné mémoire, conscience et intelligence, puis des mots

    Ô vois, combien que celui qui s’en contente atteint presque le bonheur.

     

    Pour moi, dans le tableau des ombres, il ne manque que l’amour.

    Vois mes larmes qui ne coulent plus, entends mes supplications

    Les cris de ma douleur enfoncent en mon cœur tous leurs épines,

     

    Mon Dieu, vois comme je l’aime, je l’appelle aussi brise ou vent

    Il est fils du vent, il porte sur son aile, les oiseaux du large

    La mer et lui sont complices, dans ses mains, il tient les vagues.

     

    Le ciel qui se mire dans sa rivière bleue, retient ses rêves

    Et c’est pour cela que j’aime tant la mer qui vogue et divague

    Car il vient dans mes pensées et je le rejoins dans ses rêves.

     

    Tu sais que même dans un milliard d’années, je l’aimerai encore.

    Tous les mots que j’écris, je les ai puisés à l’encre de ses yeux.

    Je voudrais pouvoir toucher son cœur, boire ses sourires.

     

    J’ai vu la grandeur de son âme, sa voix à mon oreille était si belle

    J’entends maintenant dans la bruyère, le souffle de ses silences.

    Oh mon Dieu, entends ma détresse, donne-moi son amour.   

    ©Janedeau


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    Passe le temps sans lui, ô mon Dieu

     

    Mon dieu, entends-tu ma prière

    Vois comme j’ai l’âme affligée

     

    Il vient des jours de mélancolie

    Des jours qui versent des larmes

    Dans l’âme où le soleil meurt.

     

    Lui que j’aime et que j’attends

    Je lui ai donné toutes mes errances.

    Mes rêves ne portent que son nom.

     

    Il est comme le vent sur la mer

    Je l’appelle même si se brise ma voix

    Même si la brume défait son image.

     

    J’ai déposé dans sa rivière bleue

    Les cantiques de mon cœur

    Il est mon roi, celui que j’aime.

     

    Mon Dieu, en chaque instant

    Il dort dans la beauté de mon rêve

    Et je te supplie d’être dans ses pensées.

     

    Mon Dieu entend ma prière

    Donne-moi son amour

    Ses yeux sont remplis d’étoiles.

     

    Sur ses lèvres dorment ses sourires.

    Je veux puiser la rosée de ses réveils.

    Je veux cueillir que ses mots du silence

     

    Devrai-je encore longtemps attendre

    Mourir d’amour, pleurer son absence

    Pour qu’il comprenne et me revienne.

     

    Mon dieu, entends-tu ma prière

    Vois comme j’ai l’âme affligée

    ©Janedeau


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    Les mains jointes

     

    Les mains jointes

     

    Le ciel est bleu, le jour se montre laissant les étoiles s’endormir.

    Dans mes yeux, j’ai son image, son rêve, encore, me poursuit.

    Dans la brume de ma raison, de loin, j’entends sa voix resurgir  

    Je ne peux fermer ces hublots de l’ombre, il est dans ma nuit.

     

    Oh mon Dieu, je crie vers toi, te supplie, entends mes soupirs

    Vois, mon oraison s’embrume de désespoir, sombrant dans la nuit.

    Je me demande, reviendra-t-il ce doux vent d’été me faire languir

    En ses levers de soleil entrevus dans son mirage qui me séduit ?

     

    Mon Dieu, vois au fond de mon âme, la mer d’émoi m’égare

    Je ne sais plus penser ni croire ni espérer, je me sens perdue.

    Au gré des orages n’éclairant que le ruissellement de son départ.

    Pour lui, ô vent, ne suis-je qu’âme invisible ne passant qu'inaperçue ?

     

    Les mains jointes, je récite le nom des étoiles de ses yeux

    J’appelle le vent portant sa noblesse dans l’écho de mes suppliques

    Ô mon Dieu, entend s’il te plait, ma requête et mes vœux

     Vois comme je l’aime, comme je le désire, ô que son amour ressuscite.    

    ©Janedeau                                               


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    Donne-moi oh mon Dieu

     

    Les jours passent et les nuits s’enchâssent encore dans mes rêveries.

    Vois, je suis la mer aux grandes marées qui t’invite ô mon vent d’amour.

    Viens prends-moi, je porte le parfum des embruns, celui de ta messagerie

    Viens ne m’ignore pas, écrit-moi des mots de lune, sois mon troubadour.

     

    Oh mon Dieu entend ma requête, je crie sans cesse vers toi et te supplie

    J’ai laissé mes larmes déborder et remplir le bassin de sa rivière bleue.

    J’ai fait des rades d’étoiles dans le ciel pour écouter pleurer la pluie.

    Oh mon Dieu, entend ma requête, donne-moi les sourires de ses yeux.

     

    Depuis tant de temps que je l’attends, que je plonge dans le désespoir

    Que j’écris son nom sur tous les murs du temps, faisant des graffitis

    Puis dans mes lendemains, soudain je revis, submerger par l’espoir.

    J’attends encore le vent, errant ici et là dans la chapelle des nuits.

    ©Janedeau

     


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