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    La musique guérit mon cœur

     

    Ton absence se promène dans ma douleur.

    Et tes silences me parlent d’indifférence.

    Est-ce que tu sais que j’existe, que je pense à toi ?

    Est-ce que tu vois la plaie de mes déchirements ?

     

    Les saisons coulent des regards de tristesse

    De neige et de pluie, de soleil et de lune

    Où m’emporteront le lieu de leurs errances ?

    Trouverai-je encore réconfort en leurs voies ?

     

    Au gré des chemins de lune, je m’enfonce

    Dans la nuit qui retient les rêves d’eau.

    Des vaisseaux d’étoiles se posent et déposent

    Des sentiments d’amour au fond de mes yeux.

     

    Des rayons de soleil étanche ma soif de toi

    Quand vient le jour s’abreuver de doux baisers.

    La musique guérit mon âme comme rosée du matin

    Buvant des milliers de délires des vents égarés.

     

    Je sais que tu ne me diras rien, mon cœur est mort

    Désormais, seule la musique m’emportera là-haut

    Dans les profondeurs de l’errance où survit le vide

    De mes grands états d’âme de l’oubli, je n'existe plus.

    ©Janedeau

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     Serge

     

     

     

    Que me reste-t-il sans lui

     

    Dieu très haut de l’univers, je sais qu’il me faut survivre

    Je sais qu’à chaque jour, je dois porter le poids du silence,

    Je sais que tu écoutes nos prières qui viennent du coeur

    Quand on te prie par l’intermédiaire de ton fils Jésus.

     

    Je sais que tu entends mes supplications avec larmes

    Que ma détresse te peine vraiment, tu y es sensible.

    Je sais que les jours passent, que je dois survivre

    Que l’écho de mes silences porte les cris de ma douleur.

     

    Je voudrais en cet instant reculer l’horloge du temps,

    Faire à nouveau sa rencontre, taire le sens des mots.

    Je voudrais réentendre sa voix, voir dans ses yeux

    Des navires d’étoiles qui accosteraient à mon port.

     

    Que suis-je donc sans lui maintenant, que me reste-t-il ?

    Voyez ô mon Dieu, dans ma défaite, mon désespoir.

    Voyez sur mon visage, tous ses masques voilés

    Qui cachent en mon âme, les accords de ma tristesse.

     

    J’aurais tant voulu escalader les marches du bonheur

    Être pour lui, l’âme sœur, douce compagne de sa solitude.

    Boire à ses lèvre la coupe des rêves, prendre sa main

    Et avancer avec lui sur des chemins remplis de soleil.

    ©Janedeau


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    Bientôt une résurrection sur la terre


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    Tous les animaux seront en paix les uns les autre et avec les humains


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